Ce mercredi a débuté le tournoi ATP 500 de Pékin, en Chine. Si on jette un œil sur le tableau, on se rend vite compte de la densité de son tableau, qui compte 32 joueurs. Ainsi, même les top players ne sont pas à l’abri : différent d’un Grand Chelem ou d’un Masters 1000, où ils sont relativement protégés lors des premiers tours, un ATP 500 est historiquement plus dense. En février, ils sont plusieurs à se succéder : Rotterdam, Dallas, Doha, Rio de Janeiro, Dubaï et Acapulco. Avant Wimbledon, c’est le duo Queen’s/Halle qui est également très relevé. La tournée asiatique a également sa propre particularité : elle signé le retour des cadors à la compétition pares l’US Open. Ainsi, Jannik Sinner (n°2) est tête de série n°1 à Pékin. Alexander Zverev (n°3), Alex de Minaur (n°8) et Lorenzo Musetti (n°9) viennent compléter le quatuor de tête. Même les qualifications étaient extrêmement denses : certains ATP 250 ne présentent pas un plateau aussi relevé en quarts de finale. On y trouvait deux huitièmes de finaliste du dernier US Open (Arthur Rinderknech et Adrian Mannarino), deux joueurs ayant disputé une finale d’un ATP 250 pas plus tard que cet été (Botic van de Zandschulp et Jesper De Jong) et un demi-finaliste de Masters 1000 le mois dernier (Terence Atmane à Cincinnati). Les huit candidats au grand tableau pékinois étaient tous membres du Top 100.